Journée Internationale de l’éducation 2024

La journée internationale de l’éducation 2024 marque une étape importante dans la promotion de l’éducation de qualité pour tous. Célébrée chaque année le 24 janvier, cette journée vise à sensibiliser les gouvernements, les communautés et les individus du monde entier sur l’importance de l’éducation pour le développement durable et l’égalité des chances.

Au Cénacle, nous vivons quelque chose de profondément éducatif et pédagogique dans notre mission. Cela nous donne la connaissance et la sagesse nécessaires pour approfondir notre relation avec Dieu et pour vivre nos valeurs religieuses au quotidien. En ce jour spécial, nous sommes appelés à reconnaître l’importance de l’éducation religieuse et à la promouvoir en tant que pilier essentiel de notre société.

 

Nos témoignages…
Sœur Nathalie

Sœur Nathalie, de la communauté du Kremlin-Bicêtre, nous explique comment elle a retrouvé une dimension éducative et pédagogique dans sa mission au Cénacle par rapport à son ancienne profession d'institutrice.

Sœur Marie-Paule

« J’ai été institutrice pendant 6 ans en école primaire avant d’entrer au Cénacle. J’ai choisi et voulu devenir institutrice pour enseigner, communiquer, transmettre tout ce que moi j’avais reçu avec tellement de bonheur, le plaisir de la lecture, de l’écriture, d’un savoir vivre, large et ouvert aux autres. Et puis, il y avait Dieu au cœur de ma vie, et Lui aussi, je voulais Le faire connaître et aimer. Alors, j’ai choisi d’être sœur du Cénacle et j’ai renoncé à l’école. Mais je n’ai pas renoncé à rencontrer des enfants, des familles, au contraire : pendant des années, j’ai été responsable d’éveil à la foi en paroisse, en diocèse, catéchiste, j’ai pu partager ce qui me fait vivre, le Christ, les autres, l’Evangile : éduquer, accompagner sur un chemin de vie et de liberté, encore, oui, toujours avec passion ! »
soeur Marie-Paule

 

 

Sœur Marie-Paule Peyronnaud, communauté de Montmartre

 

 

Sœur Cécile

« Avant d’entrer au Cénacle, j’étais professeur de mathématiques, et mon travail me passionnait. Et pourtant, celui-ci ne m’a jamais manqué depuis que je l’ai quitté, car je retrouve dans ma mission au Cénacle les principaux éléments qui me faisaient tant vibrer : accueillir l’autre là où il en est et le rejoindre en ce lieu pour l’aider à faire un pas de plus ; encourager en orientant le regard sur ce qui est beau, ce qui naît ou se fortifie ; permettre aux personnes d’aller à la rencontre de leur désir profond pour orienter leur vie… Et cet accueil, cette pédagogie, cette valorisation de ce qui est bon et cette invitation au discernement sont désormais orientés vers quelque chose de tellement plus grand, tellement plus porteur de vie, puisqu’il s’agit de la relation avec le Seigneur, source de la vie ! Accompagner ces personnes me fait moi aussi grandir dans ma foi. »

Sœur Cécile Direz, communauté du Kremlin-Bicêtre

Sœur Jacqueline

« Agée de 21 ans, une licence d’histoire en poche et titulaire du BAFA, il m’a été proposé par l’Education nationale un poste de monitrice-éducatrice dans des classes vertes et de neige. C’est ainsi que je me suis retrouvée dans une petite station de ski des Alpes du sud, à vire au rythme de classes qui se succédaient chaque mois. J’ai alors pu avoir la joie pendant 2 ans de voir ces enfants, de 5 à 12 ans, faire l’apprentissage du ski, de la nature, de la vie avec d’autres. Les voir grandir en les aidant pour les petits gestes de la vie quotidienne, oser un pas vers un peu plus d’autonomie, respecter l‘autre. Aujourd’hui, sœur du Cénacle, c’est cette même vie que j’accueille et qui me réjouit lorsque je rencontre des personnes en accompagnement individuel, en retraite, ou de façon plus informelle. C’est cette vie fragile et cependant forte que j’essaie d’accompagner avec comme boussole, le Christ, pour qu’en chacun, chacune elle puisse jaillir toujours plus vive. »

Sœur Jacqueline Guieu, communauté de Montmartre

Sœur Bernadette

« Avant d’entrer au Cénacle, j’étais institutrice en primaire. Mon désir profond était de partager ce qui me faisait vivre, la joie de la découverte par la lecture, l’ouverture au monde, la vie de relations ….. de croire en la vie présente en chaque personne et de déployer toute la créativité possible pour faire grandir cette vie. Ce métier qui me passionnait a fait grandir en moi le désir de partager aussi ma relation avec le Seigneur, de le faire connaître plus explicitement. Et je suis arrivée au Cénacle, sans regret, mais en déployant encore plus largement mon désir profond : faire grandir, croire en la vie et la vie en abondance. »

Sœur Bernadette Mourelon, communauté de Toulouse

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