Retour à Toulouse
La grande joie "d'ouvrir"
Me voilà au terme de mon mandat de supérieure de la communauté du Kremlin Bicêtre. J’ai eu la grande joie « d’ouvrir » avec mes sœurs cette nouvelle implantation du Cénacle, envoyée auprès des jeunes. Cependant, cette attention portée à la communauté (qui a pas mal changé en six ans) et à l’accompagnement et soutien de nos jeunes sœurs en formation n’est pas le tout de ma mission sur le diocèse de Créteil.
Je suis aussi à mi-temps, RDAH : responsable diocésaine des aumôneries des hôpitaux. Je suis chargée de discerner, de recruter, de former, d’accompagner la petite quinzaine d’aumôniers (et leur équipe) des grands hôpitaux qui sont implantés dans le Val de Marne. C’est une très belle mission qui m’a passionnée et m’a conduite au cœur du diocèse.
Me voilà au terme de mon mandat de supérieure de la communauté du Kremlin Bicêtre. J’ai eu la grande joie « d’ouvrir » avec mes sœurs cette nouvelle implantation du Cénacle, envoyée auprès des jeunes. Cependant, cette attention portée à la communauté (qui a pas mal changé en six ans) et à l’accompagnement et soutien de nos jeunes sœurs en formation n’est pas le tout de ma mission sur le diocèse de Créteil.
Je suis aussi à mi-temps, RDAH : responsable diocésaine des aumôneries des hôpitaux. Je suis chargée de discerner, de recruter, de former, d’accompagner la petite quinzaine d’aumôniers (et leur équipe) des grands hôpitaux qui sont implantés dans le Val de Marne. C’est une très belle mission qui m’a passionnée et m’a conduite au cœur du diocèse.
Le désir d’avancer ensemble
Cette mission, je l’ai portée en équipe, en lien serré avec deux femmes, l’une responsable du monde de la santé : Véronique Vallade et l’autre des maisons de retraites et du service évangélique des malades, Valérie Lagrée. Ce fut une merveilleuse (hélas trop courte) collaboration de 5 ans. Cette mission, qui n’est certes pas « sur le terrain » m’a permis d’ouvrir mon cœur à la dimension du diocèse qui a traversé dans cette période, la pandémie et « l’affaire Santier ».
J’y ai plus que jamais goûté le désir d’avancer ensemble à la suite du Christ, en Eglise au service des personnes malades, âgées, porteuses de handicap, en fin de vie et de tous ceux qui se donnent du mal pour les accompagner au quotidien (familles, soignants, bénévoles).
Cette mission, je l’ai portée en équipe, en lien serré avec deux femmes, l’une responsable du monde de la santé : Véronique Vallade et l’autre des maisons de retraites et du service évangélique des malades, Valérie Lagrée. Ce fut une merveilleuse (hélas trop courte) collaboration de 5 ans. Cette mission, qui n’est certes pas « sur le terrain » m’a permis d’ouvrir mon cœur à la dimension du diocèse qui a traversé dans cette période, la pandémie et « l’affaire Santier ».
J’y ai plus que jamais goûté le désir d’avancer ensemble à la suite du Christ, en Eglise au service des personnes malades, âgées, porteuses de handicap, en fin de vie et de tous ceux qui se donnent du mal pour les accompagner au quotidien (familles, soignants, bénévoles).
Une « joyeuse construction communautaire »
Je retrouve Toulouse, que je connais bien et que j’ai quittée il y a six ans, pour prendre la responsabilité de la communauté qui a bien changée.
J’ai bien conscience qu’il va y avoir une phase de « joyeuse construction communautaire » puisque nous arrivons à deux sœur Odile et moi-même.
Ma mission apostolique n’est pas encore bien dessinée si ce n’est le désir de garder les liens déjà établis avec le monde des jeunes.
Je retrouve Toulouse, que je connais bien et que j’ai quittée il y a six ans, pour prendre la responsabilité de la communauté qui a bien changée.
J’ai bien conscience qu’il va y avoir une phase de « joyeuse construction communautaire » puisque nous arrivons à deux sœur Odile et moi-même.
Ma mission apostolique n’est pas encore bien dessinée si ce n’est le désir de garder les liens déjà établis avec le monde des jeunes.
Poursuivre avec les jeunes et les personnes situées à la périphérie
Je vais avoir à discerner avec ma Provinciale, sœur Kate, mes sœurs et le diocèse comment prendre ma place dans la manière dont notre charisme du Cénacle se déploie aujourd’hui sur Toulouse. Mon expérience personnelle et ce que j’ai vécu au Kremlin-Bicêtre m’encouragent à chercher du côté des personnes situées à la périphérie.
Bref, l’Esprit Saint que nous avons si généreusement reçu au Kremlin-Bicêtre avec les jeunes en communauté pour la fête du Cénacle va poursuivre son œuvre à Toulouse, j’en suis certaine !
Soeur Françoise, communauté du Kremlin-Bicêtre (plus pour très longtemps…)
Je vais avoir à discerner avec ma Provinciale, sœur Kate, mes sœurs et le diocèse comment prendre ma place dans la manière dont notre charisme du Cénacle se déploie aujourd’hui sur Toulouse. Mon expérience personnelle et ce que j’ai vécu au Kremlin-Bicêtre m’encouragent à chercher du côté des personnes situées à la périphérie.
Bref, l’Esprit Saint que nous avons si généreusement reçu au Kremlin-Bicêtre avec les jeunes en communauté pour la fête du Cénacle va poursuivre son œuvre à Toulouse, j’en suis certaine !
Soeur Françoise, communauté du Kremlin-Bicêtre (plus pour très longtemps…)