De Toulouse au Kremlin-Bicêtre, en passant par la Terre Sainte
Nous voilà arrivés au terme d’une année pastorale. Les changements dans les communautés fleurissent souvent à cette époque. La communauté de Toulouse ne déroge pas à cette règle. En effet, après six années dans la ville rose, je m’envole sous un autre ciel pour m’installer dans le diocèse de Créteil.
Je rejoins donc, à la rentrée pastorale, la communauté du Kremlin-Bicêtre : nous serons 5 à vivre au 4ème étage d’un immeuble, en plein cœur d’une ville multiculturelle et bigarrée, tout proche de Paris.
La mission apostolique qui m’attend consonne avec celle que je viens de vivre à Toulouse : prendre soin des jeunes professionnels, (dans le service de la pastorale des jeunes) et rejoindre le service de la vie spirituelle du diocèse de Créteil. Autant d’occasions pour rencontrer de nouvelles personnes, emprunter des chemins nouveaux, annoncer le Christ et partager sa Parole encore et toujours, avec passion et espérance.
Nous voilà arrivés au terme d’une année pastorale. Les changements dans les communautés fleurissent souvent à cette époque. La communauté de Toulouse ne déroge pas à cette règle. En effet, après six années dans la ville rose, je m’envole sous un autre ciel pour m’installer dans le diocèse de Créteil.
Je rejoins donc, à la rentrée pastorale, la communauté du Kremlin-Bicêtre : nous serons 5 à vivre au 4ème étage d’un immeuble, en plein cœur d’une ville multiculturelle et bigarrée, tout proche de Paris.
La mission apostolique qui m’attend consonne avec celle que je viens de vivre à Toulouse : prendre soin des jeunes professionnels, (dans le service de la pastorale des jeunes) et rejoindre le service de la vie spirituelle du diocèse de Créteil. Autant d’occasions pour rencontrer de nouvelles personnes, emprunter des chemins nouveaux, annoncer le Christ et partager sa Parole encore et toujours, avec passion et espérance.
Au cours de la fête de fin d’année du centre spirituel Coteaux Païs qui avait lieu le 29 juin, j’ai pu rendre grâce pour les années passées avec la famille ignatienne. Si la mission qui m’attend me réjouit profondément, quitter Toulouse ne se fait pas sans un déchirement : une communauté, des projets, des personnes, des découvertes, des défis à laisser. Tout un chemin fait avec le Christ, pour le Christ. Il me faut tout lâcher alors que la germination est en cours mais c’est ainsi. Heureusement, la communauté veillera à la récolte des promesses de fruits que j’aperçois. C’est la force de la vie communautaire. Nous œuvrons ensemble pour le Seigneur. Je pars donc confiante vers de nouvelles terres.
Ils ont été nombreux à venir me dire « au revoir » dans le jardin du Cénacle, vendredi 30 juin. De 17h à 22h, ils se sont succédés pour partager un moment au Cénacle. J’ai été très touchée par les marques d’affection et d’amitié dont les toulousains, jeunes et moins jeunes, m’ont gratifiée de manière unique et originale.
Au cours de la fête de fin d’année du centre spirituel Coteaux Païs qui avait lieu le 29 juin, j’ai pu rendre grâce pour les années passées avec la famille ignatienne. Si la mission qui m’attend me réjouit profondément, quitter Toulouse ne se fait pas sans un déchirement : une communauté, des projets, des personnes, des découvertes, des défis à laisser. Tout un chemin fait avec le Christ, pour le Christ. Il me faut tout lâcher alors que la germination est en cours mais c’est ainsi. Heureusement, la communauté veillera à la récolte des promesses de fruits que j’aperçois. C’est la force de la vie communautaire. Nous œuvrons ensemble pour le Seigneur. Je pars donc confiante vers de nouvelles terres.
Ils ont été nombreux à venir me dire « au revoir » dans le jardin du Cénacle, vendredi 30 juin. De 17h à 22h, ils se sont succédés pour partager un moment au Cénacle. J’ai été très touchée par les marques d’affection et d’amitié dont les toulousains, jeunes et moins jeunes, m’ont gratifiée de manière unique et originale.
Un heureux concours de circonstance m’a permis de terminer cette année avec un magnifique pèlerinage en Terre Sainte que j’accompagnais avec Sr Sophie Beauchamp et grâce à Coteaux Païs (centre spirituel jésuite du sud-ouest). Arpenter cette Terre avec des amis dans le Seigneur a été non seulement une bénédiction mais m’a également permis, en mettant mes pas dans les pas de Jésus, de rendre grâce pour tout le bien reçu au long de ces années.
Un petit clin d’œil a été signe d’une transition en douceur entre Toulouse et le KB : Dominique Marniquet, prêtre accompagnateur qui travaille pour « Routes Bibliques » et accompagnait notre pèlerinage est du diocèse de Créteil !
Pour aller de Toulouse au Kremlin-Bicêtre, il me fallait donc passer par la Terre Sainte !
Soeur Nathalie, communauté de Toulouse
Un heureux concours de circonstance m’a permis de terminer cette année avec un magnifique pèlerinage en Terre Sainte que j’accompagnais avec Sr Sophie Beauchamp et grâce à Coteaux Païs (centre spirituel jésuite du sud-ouest). Arpenter cette Terre avec des amis dans le Seigneur a été non seulement une bénédiction mais m’a également permis, en mettant mes pas dans les pas de Jésus, de rendre grâce pour tout le bien reçu au long de ces années.
Un petit clin d’œil a été signe d’une transition en douceur entre Toulouse et le KB : Dominique Marniquet, prêtre accompagnateur qui travaille pour « Routes Bibliques » et accompagnait notre pèlerinage est du diocèse de Créteil !
Pour aller de Toulouse au Kremlin-Bicêtre, il me fallait donc passer par la Terre Sainte !
Soeur Nathalie, communauté de Toulouse
